Hellboy : Asylum Seeker
Le personnage de comcis Hellboy a tellement eut de succès qu’un jeu-vidéo fut adapté à la fois sur PS1 et PC. Mais, étonnamment, ce même jeu porte deux noms différent selon la console. Sur PS1 il se nomme "Hellboy : Asylum Seeker" et sur PC il s’appelle "Hellboy : Dogs of the Night".
Dans ce jeu on joue donc le personnage de HellBoy, qui est un agent du paranormal, et on fait équipe avec sa collègue Sarah. Au début, les deux agents se séparent pour trouver le plus indices possibles sur la disparition d’un de leur collègue, mais Sarah se fait enlever à son tour par un monstre. Hellboy est donc le seul espoir des deux agents disparus.
Le jeu se joue à la manière des premiers Resident Evil. On évolue dans des décors à travers une caméra fixe, la maniabilité est donc assez rigide et déplaira aux nouveaux joueurs, mais on s’y habitue très vite. Comme dans tout survival-horror, il va falloir à la fois combattre et explorer divers lieux pour y trouver des objets et résoudre de petits énigmes comme pousser des obstacles, tourner des statues dans le bon sens pour ouvrir une porte ou trouver un tuyau pour arrêter un ventilateur de tourner et ainsi continuer sa progression.
Pour les combat, on n’a pas beaucoup d’armes, on se limite à une torche, un gun avec 30 balles et une épée. Mais la plupart du temps, on doit se battre à main nue car Hellboy frappe fort avec ses poings. Les monstres que l’on affronte sont des zombies, une infirmière, des moines monstrueux, des chiens géant, etc… Ils ne font pas peur parce que les animations sont souvent ridicules. Les combats ne sont pas non plus dynamiques et les ennemis ne réagissent pas toujours alors qu’on les attaque frontalement. Par contre, si on vient à mourir, il faudra reprendre depuis le dernier point de sauvegarde, alors attention car il n'y a pas de sauvegarde automatique.
Le jeu contient 6 chapitres, et même si le style lent du survival-horror ne convient pas vraiment à l’univers de Hellboy, le jeu est quand même correct et il respecte parfaitement les codes du genre. Beaucoup de personnes le considère pourtant comme un des pires jeux PS1 à cause de ses combats ridicules et de ses bugs (je suis déjà rentrée dans un poteau et je suis resté bloquée) mais c’est qu’ils n’ont pas joué à The Guardian of Darkness ! D'autres considèrent ce jeu comme une des pires adaptations de comics, et de ce côté là, ce n'est pas faux.
Description du jeu par Nancy